I. Qui êtes vous ?
Prénom : Mélanie
Surnom/Pseudo : Melanye
Âge : 16 ans et demi
Sexe : Féminin
II. Pour mieux vous connaître...
Profession (classe/études/métier) : lycéenne en 1ère STAV
Loisirs : Ecrire ! Lire, écouter de la musique,...
Passions : L'écriture, la nature, la protection des animaux,...
Écrivez-vous régulièrement ? Dès que je peux ! (en cours, surtout...)
Si oui, depuis combien de temps ? Euuh ! Plusieurs années
[FAC] Pourquoi écrivez-vous ? Pour libérer mon esprit, m'évader...
III. Why us ?
Comment avez-vous connu ce forum ? Par un magazine
Que recherchez-vous en vous inscrivant ? Découvrir d'autres styles d'écriture, et faire partager mes écrits
Avez-vous des questions ou des suggestions à nous faire part ? Tout de suite, non
Certifiez-vous sur votre honneur être lycéen(ne) (ou ) ? Oui !
Certifiez-vous sur votre honneur avoir lu le règlement ? Oui !
IV. L'épreuve ultime avant l'embarquement !
Racontez en un petit paragraphe une anecdote qui a marqué votre enfance, réelle ou fictive.
*cherche, cherche*
Tournant la tête, je n'aperçois qu'une mer de nuages par le petit hublot. L'altitude m'effraie horriblement, mais je m'efforce de rester calme, me contentant d'agripper mon siège de toutes ms forces. Le pilote fait une annonce au micro, et un voyant lumineux s'éclaire sur la petite barre au-dessus de nos têtes. Les passagers s'agitent, et moi, je soupire. Une migraine me tenait depuis plusieurs heures, et je n'attendais qu'une chose : pouvoir respirer de l'air frais.
Petit à petit, nous traversâmes les nuages, ne me laissant aucune visibilité. Puis, lorsque nous fûmes assez bas, j'aperçus enfin la terre, cette terre dont je rêvais chaque jour depuis des mois. Nous surplombâmes ce qui semblait être un fleuve. Je ne voyais aucune ville ou route alentour, et je commençais à me demander si nous n'allions pas atterrir dans la poussière. L'appareil effectua quelques redressements, puis un grondement sourd nous averti que les roues étaient sorties. L'atterrissage fut parfaitement maîtrisé, nous ne ressentîmes aucune secousse.
Le plus long fu d'attendre les bagages à l'aéroport. J'observai des panneaux dont la langue d'écriture m'était totalement inconnue. Losque nous eûmes récupérés nos valises, nous nous dirigeâmes aux douanes. Nous passâmes sans problèmes, et longeâmes un tunnel qui déboucha sur une porte de sortie. Courrant presque, je fus honorée d'ouvrir cette porte et de respirer la première cet air chaud et sec qui me fit comprendre que mon rêve se réalisait. Je respirait enfin l'air Africain.