Stichopoésie n°2 : Les rives lointaines [Titre provisoire]

Mais oui mais ce n'est pas fini hein ;-) Qui prend la suite =D ?


Sur la montagne au bord de l’eau
Chantait un triste matelot
Se remémorant l’horizon
Et de poussiéreuses chansons.

Se rappelant ainsi des jours
Qu’il croyait pourtant oubliés,
Autant de moments repliés
Que de fleurs fanées pour toujours,
Il repensait à ces rivages,
Il rêvait de ces paysages
Qu’il aperçut en navigant
Alors qu’il n’était qu’un enfant.

Il se souvint des maints voyages,
Sous des cieux emplis de nuages,
Où il attendait ce présage…
Alors se déclara l'orage,
Il partit laissant derrière lui
Ses rêves, ses joies et ses envies
Pour enfin embrasser la vie…
Et enfin sortir de l’oubli.

Il marcha jusqu’à l’horizon,
Il descendit cette montagne
Et découvrit un oisillon
Entouré de beaux papillons
Auprès d’une fleur de campagne.

Il en rit en la ramassant,
Sa bien-aimée le rejoignit,
Des souvenirs lui ressassant,
Il la lui offrit et sourit ;
Elle la prit en le dépassant.
Il courut pour la rattraper,
Elle marchait en rêvassant,
Ravie de l’avoir retrouvé.

Il lui conta une autre histoire,
Qui était aussi dérisoire :
Il lui dépeignait le monde
Qu'il avait longtemps parcouru,
Distinguant tempêtes incongrues
Des vagues qui formaient cette onde,
L’étendue des lacs et mers calmes
Emerveillait ses sens, son âme
Et son esprit ; il racontait
Comment cette mer l’étreignait
Et combien il la regrettait...

C’était un matin de janvier,
Entonna-t-il avec regret

Le "c'était un matin de janvier" c'est pour l'histoire qu'il vient de raconter, pour la prochaine ou le moment où il la raconte ? :S
Juste savoir comment vous voyez les choses ^_^, pour continuer c'est plus simple.

Anaël a écrit:

Il lui conta une autre histoire,
Qui était aussi dérisoire :
Il lui dépeignait le monde
Qu'il avait longtemps parcouru,
Distinguant tempêtes incongrues
Des vagues qui formaient cette onde,
L’étendue des lacs et mers calmes
Emerveillait ses sens, son âme
Et son esprit ; il racontait
Comment cette mer l’étreignait
Et combien il la regrettait...

C’était un matin de janvier,
Entonna-t-il avec regret

Pour moi il s'agit de celle dont on parle depuis le début =D (:et oui, une autre puisqu'on peut imaginer qu'il n'a pas raconté qu'une seule histoire à sa "bien-aimée" !:)

Si ce vers vous embête je peux l'enlever ! =)

Le froid et la brume flottaient

dans l'air, hein ^^

Naviguant sur les eaux bleutées...

On peut dire que l'air "navigue" sur l'eau ^^

Et formaient ainsi des mirages


Non non laisse ! :), c'était juste que je voulais savoir à quoi ça faisait référence

De deux Sirènes sans âge

Et de bateaux légendaires

Ou peut-être bien imaginaire

J'apperçus alors ce rivage

J'apperçu alors cette terre

Et me narguant à l'horizon

Me chantant de douces chansons

Faites attention, on est à la troisième personne (;

En discours direct raporté, donc on bascule sur la première personne !

Il m'attirait et m'envoûtait

Me guidait et m'enlaçait

Et je me laissais bercer

Par ces endroits inexplorés

Et un beau jour je rencontrais

Après y avoir débarqué

Toi, petit être abandonné

Malheureux, triste et miséreux

Que je vis par ce hasard heureux,

Mais maintenant tu me souris

Te souviens-tu du merveilleux

J'aimerais tant, par l'océan,

Qui reflète un ciel bleu cyan

Retrouver ces rives lointaines

Qui me remplissaient de haines

Mais non, mais non >_<", pas de haines O_o

Citation :

J’aimerais tant, par l’océan,
Qui reflète un ciel bleu cyan,
Retrouver ces rives lointaines
Qui me remplissaient de haines

Pas bon ;-)

Il est mort ce sujet x(.
Sinon, on n'a qu'un dire que "retrouver ces rives lointaines" est le dernier vers de cette poésie ?

Mouais, on pourraît penser à clore, mais il faudrait peut-être un ultime vers !! =)

Oui je suis d'accord, j'ai pas trop d'idée pour un dernier vers...
Pourquoi pas :

Ainsi que tous les gens que j'aime
(?)

Je ne sais pas, moi ça me donne l'impression que ça marche.
Mais du coup, on a fini, non ?

Oui je pense, ça pourrait être une fin :). Il faut juste que quelqu'un se charge de tout mettre ensemble, si vous pensez qu'il n'y a plus rien à ajouter.

Bon, aller, vendu pour "Ainsi que tous les gens que j'aime" ^^'

Euh... par contre ... qui a réuni la sticho vers par vers ^^' ?

Je peux m'en occuper. Mais je les donne à qui ?

Tu postes le tout dans un nouveau sujet =D En tous cas merci beaucoup pour ce service, Zois'O !!

Juste, j'ai le texte mais il y aurait quelques détails à astiquer...

Sur la montagne au bord de l’eau
Chantait un triste matelot
Se remémorant l’horizon
Et de poussiéreuses chansons.

Se rappelant ainsi des jours
Qu’il croyait pourtant oubliés,
Autant de moments repliés
Que de fleurs fanées pour toujours,
Il repensait à ces rivages
Il rêvait de ces paysages
Qu’il aperçut en navigant
Alors qu’il n’était qu’un enfant.

Il se souvint des maints voyages,
Sous des cieux emplis de nuages,
Où il attendait ce présage…
Alors se déclara l'orage,
Il partit laissant derrière lui
Ses rêves, ses joies et ses envies
Pour enfin embrasser la vie…
Et enfin sortir de l’oubli.

Il marcha jusqu’à l’horizon,
Il descendit cette montagne
Et découvrit un oisillon
Entouré de beaux papillons
Auprès d’une fleur de campagne.

Il en rit en la ramassant,
Sa bien-aimée le rejoignit,
Des souvenirs lui ressassant,
Il la lui offrit et sourit ;
Elle la prit en le dépassant.
Il courut pour la rattraper,
Elle marchait en rêvassant,
Ravie de l’avoir retrouvé.

Il lui conta une autre histoire,
Qui était aussi dérisoire :
Il lui dépeignait le monde
Qu'il avait longtemps parcouru,
Distinguant tempêtes incongrues
Des vagues qui formaient cette onde,
L’étendue des lacs et mers calmes
Émerveillait ses sens, son âme
Et son esprit ; il racontait
Comment cette mer l’étreignait
Et combien il la regrettait...

"C’était un matin de janvier,
Entonna-t-il avec regret

Le froid et la brume flottaient
Naviguant sur les eaux bleutées...
Et formaient ainsi des mirages
De deux Sirènes sans âge
Et de bateaux légendaires
Ou peut-être bien imaginaire

J'aperçus alors ce rivage
Sous les feux crépusculaires
J’aperçus alors cette terre
Abritant mille mystères...

Et me narguant à l'horizon
Me chantant de douces chansons
Il m'attirait et m'envoûtait
Me guidait et m'enlaçait
Et je me laissais bercer
Par ces endroits inexplorés

Et un beau jour je rencontrais
Après y avoir débarqué
Toi, petit être abandonné
Malheureux, triste et miséreux
Que je vis par ce hasard heureux,
Mais maintenant tu me souris
Et tu donnes un sens à ma vie
Te souviens-tu du merveilleux
Temps que nous passâmes tous deux...

J'aimerais tant, par l'océan,
Qui reflète un ciel bleu cyan
Retrouver ces rives lointaines

Ainsi que tous les gens que j'aime"

Bon, euh... ok, on mettra ça dans un nouveau sujet quand tout sera réglé ^^'

Pour les virgules, ou bien tu en rajoutes à ta guise ou bien on décide que ce n'est pas grave =D

Royal Air Force des guillemets O_o

"Il" c'est le rivage u_u ... Bon, ben c'est tout ^^"

Le rivage il est quand même à Chaïlle-les-bains en comparaison au vers. Enfin bon, ok !

Euh, c'est où Chaïlle-les-bain ? Loin ? Oui, c'est vrai =D Bref, merci encore =) !

Merci beaucoup d'avoir tout mis ensemble :).
Finalement quand on le lit en entier, le "ainsi que tous les gens que j'aime" ça fait pas un peu bizarre ? (puisque... Le gars dit justement que ce qu'il aime c'est voguer, ainsi que sa femme. Et sa femme... Il l'a juste à côté de lui ? *se gratte la tête*.) On laisse quand même ?
(Haha, je nous fais encore travailler
Et puis je viens de remarquer que j'avais même pas fait une rime pour le final x( ).

Je m'incruste alors que je n'ai presque jamais écrit dans cette poésie, mais je voulais juste dire que je trouve que "Ainsi que tous les gens que j'aime", c'est une bonne fin, mais ça casse avec la musicalité du texte parce que le vers et trop long. Alors, je sais pas, mais peut être mettre à la place "Ainsi que les gens que j'aime", ou un truc dans le genre, parce que l'idée en soit est bonne, mais c'est vrai que ça sonne un peu bizarre.

Enfin voilà, sinon, très beau résultat !